L'attrait de l'arête
Qu'est-ce qui nous pousse à toujours vouloir voir de l'autre côté de l'arête ?
Ce jeune chamois qui suit de près sa mère est dans sa première année, c'est encore un chevreau. Ses cornes sont visibles, mais les crochets ne sont pas encore formés. En mai, il aura un an, et s'appellera alors éterle ou éterlou (Il faudra alors encore attendre quelque temps pour reconnaitre son sexe à la forme de ses crochets).
Mais pourquoi faut-il toujours grimper pour voir ce qu'il y a de l'autre côté...?
Chartreuse, 17.03.2016, 1700m environ, 17h30.